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Construire un portefeuille diversifié dédié à la santé durable

Pourquoi l'agilité, une connaissance fine du secteur et une sélection judicieuse des innovations sont essentielles pour construire un fonds consacré au secteur de la santé à long terme
01 novembre 2021

    Investir dans le secteur de la santé est une tâche complexe. Il faut en effet s’immerger dans l'environnement de la R&D moléculaire, savoir décrypter différents environnements concurrentiels et réglementaires et comprendre à quel point il est difficile de développer des logiciels et du matériel en lien avec les dispositifs médicaux et les thérapies numériques. Et tout cela sans tenir compte de l'évolution rapide de la situation post-pandémie.

    Mais dans le même temps, à un autre niveau, c'est assez simple : les groupes pharmaceutiques, les fabricants de dispositifs médicaux, les développeurs de diagnostics et de santé numérique se doivent de créer de la valeur pour toutes les parties prenantes : les patients, les prestataires de soins de santé et les organismes payeurs.

    Pour le Dr Michael Schröter et le Dr Nathalie Flury, co-responsables du fonds HGIF Global Equity Sustainable Healthcare, la notion de valeur est le thème dominant de l'investissement dans la santé durable. Et ce qui est clair, c’est que le potentiel de valeur existant au-delà de la biotechnologie traditionnelle est gigantesque. « Il est aussi possible de fournir des soins et de réduire les coûts grâce aux dispositifs médicaux et aux applications numériques, ainsi qu'aux services et aux diagnostics », explique le Dr Schröter. « Nous investissons dans tous ces sous-secteurs. Et nous constatons également des interactions accrues entre ces sous-secteurs ».

    La biotechnologie est le secteur le plus représenté dans le fonds (environ 38 %), mais Michael Schröter et Nathalie Flury sont conscients de la nécessité de le réduire et d’assurer une bonne diversification entre les cinq sous-segments d'investissement identifiés. « J'ai déjà géré des portefeuilles exclusivement axés sur la biotechnologie et je sais que c'est un segment volatil », précise le Dr Flury. « Si le développement d'un produit se passe mal ou s’il n’est pas approuvé, l’action d'une entreprise peut chuter de 60 % à 70 %. Notre philosophie d'investissement nous permet néanmoins d’identifier des entreprises dans de nombreux segments du secteur de la santé. »

    Doublement de l'exposition au numérique

    Le fonds a profité de son approche flexible au début de l'année 2020, lorsque l'ampleur des perturbations déclenchées par la pandémie est devenue manifeste, ainsi que des mérites du segment des soins à distance. Le fonds HGIF Global Sustainable Healthcare a été suffisamment agile pour doubler son exposition et porter sa pondération à 25 % via des investissements dans le numérique et la télésanté en réponse à la pandémie, explique le Dr Flury. « Nous étions investis à hauteur de 5 % dans les solutions de santé numérique en janvier 2020, principalement via Teladoc Health et Ping An. En mars, nous avons compris que la pandémie n'allait pas disparaître rapidement. Nous avons vu venir la pression que le système allait subir, nous avons constaté une acceptation croissante de ces approches par les patients et les médecins et, enfin, nous avons compris que nous devions renforcer notre positionnement sur les valeurs de la santé numériques. »

    Aujourd'hui encore, l’ensemble du secteur de la santé numérique peut nous aider à mieux comprendre et gérer notre santé à l'avenir. Cependant, pour les investisseurs, ce secteur peut sembler nébuleux et empreint de risques. Savoir identifier des sources de valeur parmi des milliers d'applications de santé et de bien-être alors que les opérations de capital-risque se multiplient et que leurs prix ne cessent d’augmenter exige du discernement et une véritable expertise. « Pour investir, il faut donc faire preuve d’une grande prudence. Il existe une kyrielle d’entreprises dans l’univers numérique. On enregistre actuellement près de 600 000 applications de santé, mais on peut compter sur les doigts d'une main celles qui sont rentables », explique le Dr Schröter.

    Si l'on ne saisit pas entièrement la complexité du secteur, il est peu probable qu’une approche trop confiante et axée exclusivement sur les technologies porte ses fruits. C'est l’une des leçons que les géants de la technologie comme Google et Amazon, qui s'intéressent aux opportunités dans le domaine de la santé, ont appris à leurs dépens, ajoute-t-il. « En général, le problème à résoudre n’est pas technique. Il s'agit plutôt d'intégrer une solution à un environnement de santé complexe ».

    Ceux qui savent décrypter les complexités imbriquées inhérentes à la prestation de soins et aux processus de remboursement ont toutes les chances de sélectionner les innovations numériques les plus judicieuses dans le secteur de la santé. Certaines entreprises redoublent d’efforts sur le big data pour identifier les meilleurs traitements ou les suivis de soins appropriés, par exemple en identifiant les patients à risque qui peuvent être pris en charge de manière précoce pour éviter la progression de la maladie. Elles offrent donc un thème d'investissement intéressant dans la santé numérique, tout en étant capables de réduire sensiblement les coûts.

    Autre thème intéressant dans ce domaine, le déploiement de technologies de surveillance auprès des patients. Par exemple, un prestataire de soins de santé américain utilise des téléphones pour détecter la dépression post-partum, ce qui lui permet de prendre des mesures préventives. Les spécialistes des thérapies numériques aidant les patients à mieux comprendre et à adapter leur comportement et leur approche de leur maladie sont également très prometteurs dans des domaines tels que le métabolisme et la santé mentale.

    Soutenir le marché intermédiaire

    Dans le secteur pharmaceutique conventionnel, lorsqu'ils évaluent un investissement potentiel dans le domaine biopharmaceutique, les Dr Flury et Schröter recherchent toute une série de caractéristiques allant au-delà de la due diligence habituelle en matière de risques financiers et réglementaires. Les traitements doivent présenter des avantages concurrentiels clairs par rapport aux produits existants, non seulement en matière d’efficacité, mais aussi concernant la manière dont ils peuvent améliorer les normes globales de soins, ainsi que la valeur créée pour les fournisseurs et les organismes payeurs. « Ce produit est-il meilleur que ceux existants déjà sur le marché ? Et nous privilégions les entreprises proposant plusieurs produits car avec celles n’en offrant qu’un seul, toute la valeur potentielle se retrouve isolée et, si la phase 3 des essais cliniques n’aboutit pas, le risque est très élevé », explique le Dr Flury.

    Autre caractéristique clé de l'approche du fonds, sa préférence pour les moyennes capitalisations (des investissements évalués entre 500 millions et 20 milliards de dollars) dans tous les sous-secteurs, précise le Dr Schröter. L’essentiel des investissements sur ce segment se trouve aux États-Unis, mais, selon lui : « Cette situation n'est que le reflet de la région où l'essentiel des innovations sont actuellement développées. Mais cela changera avec le temps. Nous allons faire évoluer notre exposition à l'Asie à mesure que la région saura trouver de nouvelles innovations ».


    Risque

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    • Risque lié à l’investissement dans les petites et moyennes capitalisations : l’attention des souscripteurs est attirée sur le fait que le fonds est autorisé à investir en valeurs émises par des sociétés qui, en raison de leur faible capitalisation boursière, peuvent présenter des risques plus importants pour l’investisseur

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